Quand l’éphémère devient réalité : Jacqueline, s’installe à l’année.
La gastronomie vivante de Séverine Sagnet trouve son écrin à La Maison Orsini.
Rdv le 20 novembre 2025 pour le dîner !
La gastronomie vivante de Séverine Sagnet trouve son écrin à La Maison Orsini.
Rdv le 20 novembre 2025 pour le dîner !
La nouvelle a la saveur d’un secret bien gardé que l’on murmure enfin à l’oreille des fins gourmets : Le restaurant Jacqueline, l’éphémère et audacieuse aventure culinaire de l’été initiée par la cheffe Séverine Sagnet, ferme ses portes le 19 octobre… pour mieux revenir, plus forte, plus enracinée, dès le jeudi 20 novembre, cette fois à durée indéterminée à la Maison Orsini.
Après un été en version éphémère, le restaurant Jacqueline a fermé temporairement ses portes fin octobre… pour mieux renaître dès le 20 novembre, cette fois sans date de fin, dans le cadre majestueux de la Maison Orsini. Dans une salle redessinée pour l’occasion, la cheffe Séverine Sagnet poursuit son exploration d’une cuisine locavore, biodynamique et poétique, au fil des saisons et du Rhône. Une installation durable pour une table vivante.
Le goût du vivant
Chaque assiette servie chez Jacqueline est une photographie de l’instant. Ce soir, ce sera l’agneau de la Crau, ses céleris-raves en feuilles confites, ses poires rôties, un chutney maison et quelques girolles cueillies à l’aube. Demain, tout peut changer. Le menu suit les saisons, la pêche du jour, les récoltes du Mas de Carles ou les cueillettes sur l’île de la Barthelasse. L’été dernier, le voyage commençait au nord, « au fil du Rhône », glissant de Châteauneuf-du-Pape à la mer, en passant par les étangs de Camargue. Amuses-bouches végétaux, poissons de rivière signés Mathieu Cardona, anguilles, carpes du Vaccarès dressées sur des galets — comme un hommage au fleuve. Puis les légumes du sud prenaient le relais : tomates, aubergines, abricots, sublimés dans des compositions vibrantes, accompagnées de vins en biodynamie, eux aussi choisis avec rigueur.
À très bientôt, dans le goût et la grâce
Jacqueline n’est plus une parenthèse estivale. Elle devient un rendez-vous, un repère, un écrin pour la Provence gastronomique, vibrant, engagé, poétique grâce au talent de Séverine Sagnet de Guy Le Creff et de son équipe.
Après un été en version éphémère, le restaurant Jacqueline a fermé temporairement ses portes fin octobre… pour mieux renaître dès le 20 novembre, cette fois sans date de fin, dans le cadre majestueux de la Maison Orsini. Dans une salle redessinée pour l’occasion, la cheffe Séverine Sagnet poursuit son exploration d’une cuisine locavore, biodynamique et poétique, au fil des saisons et du Rhône. Une installation durable pour une table vivante.
Le goût du vivant
Chaque assiette servie chez Jacqueline est une photographie de l’instant. Ce soir, ce sera l’agneau de la Crau, ses céleris-raves en feuilles confites, ses poires rôties, un chutney maison et quelques girolles cueillies à l’aube. Demain, tout peut changer. Le menu suit les saisons, la pêche du jour, les récoltes du Mas de Carles ou les cueillettes sur l’île de la Barthelasse. L’été dernier, le voyage commençait au nord, « au fil du Rhône », glissant de Châteauneuf-du-Pape à la mer, en passant par les étangs de Camargue. Amuses-bouches végétaux, poissons de rivière signés Mathieu Cardona, anguilles, carpes du Vaccarès dressées sur des galets — comme un hommage au fleuve. Puis les légumes du sud prenaient le relais : tomates, aubergines, abricots, sublimés dans des compositions vibrantes, accompagnées de vins en biodynamie, eux aussi choisis avec rigueur.
À très bientôt, dans le goût et la grâce
Jacqueline n’est plus une parenthèse estivale. Elle devient un rendez-vous, un repère, un écrin pour la Provence gastronomique, vibrant, engagé, poétique grâce au talent de Séverine Sagnet de Guy Le Creff et de son équipe.














