Sylvie Lopez a découvert la peinture lorsqu’on lui a offert un chevalet et des pinceaux. Pour Philippe Dubreuil, c’est le regret de voir du bois abandonné au bord des chemins, apparemment sans intérêt, prêt à disparaitre, qui l’a poussé à le récupérer, à le travailler pour lui donner une nouvelle vie.
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