Passionnée de danses folkloriques, Madeleine Fournier s'inspire ici du branle, danse populaire de la Renaissance et en livre une version étonnamment contemporaine.
Six danseurs et deux musiciens nous entraînent dans un bal alchimique où se mêlent tradition et modernité tissant un canevas de va-et-vient des corps sans contact physique et pourtant puissamment érotique et amoureux.
Œuvrant à la libération des corps et des affects, Branle joue malicieusement avec l'équivoque du titre, transformant une danse ancestrale en un ballet des émotions d'un genre nouveau.
Ici, la répétition chorégraphique devient un dispositif d'invocation des affects les plus profonds.
C’est cocasse, pittoresque et drôlement intelligent.
Œuvrant à la libération des corps et des affects, Branle joue malicieusement avec l'équivoque du titre, transformant une danse ancestrale en un ballet des émotions d'un genre nouveau.
Ici, la répétition chorégraphique devient un dispositif d'invocation des affects les plus profonds.
C’est cocasse, pittoresque et drôlement intelligent.


